Disco

Samedi soir, je suis allée voir Disco... pas eu le temps d’en parler dimanche car j’étais en plein nettoyage de printemps quoi que vu le temps d’hier...

Synopsis : Endetté jusqu'au cou dans une affaire de water bed, Didier Travolta, 40 ans, vit au Havre dans le quartier populaire du Grand Large chez sa maman : Madame Graindorge. Il reçoit une lettre de la mère de son fils Brian, 8 ans, qui vit en Angleterre, lui signifiant qu'il ne pourra pas recevoir le petit cette année s'il n'est pas capable de lui payer des vacances, des vraies vacances, c'est à dire loin des Docks, des PMU et des grandes surfaces.
Jean-François Jackson et son associée "La Baronne" viennent de réouvrir le mythique Gin Fizz et de fonder la "Gin Fizz Academy" afin de relancer ce qui fit sa légende, les concours de danse Disco.
Le premier prix : un voyage de deux semaines pour deux personnes en Australie, au pays des kangourous. Didier Travolta décide alors de rechausser les boots et de reformer son trio de danse, celui qui faisait mal dans les années 80 dans la région du Havre : les BEE KINGS.
Le disco est de retour !
Après avoir retrouvé et décidé ses anciens partenaires, Neuneuil, vendeur chez Darty et Walter, grutier-docker syndicaliste, de reprendre pour la bonne cause le chemin du Dance Floor, Didier Travolta se lance à fond dans l'aventure. Mais les années ont passé. Les BEE KINGS sont rouillés.
Son passeport pour le succès s'appelle France Navarre de retour de New York, professeur de danse classique.

Mon avis : J’ai adoré même si Dubosc surjoue à mon goût et en fait trop. J’ai passé un agréable moment avec ces musiques disco qui donnaient envie de bouger et de se lever de son siège... Alors je persiste et signe, moi je craque pour Samuel Lebihan... déjà à l’époque du Pacte des loups, il n’aurait pas dormi dans la baignoire mais là encore plus... J’ai trouvé Annie Cordy bien plus crédible que Line Renaud dans les Ch’tis par contre. Il y a quand même des phrases assez marrantes...

J’ai trouvé l’histoire touchante quand même, un père qui se démène pour offrir des vacances à son fils...Et puis pas de prise de tête avec ce film, on passe un bon moment, on rigole et c’est tout...La salle était remplie, des gens éclataient de rire et ne s’arrêtaient plus... et coup de coeur pour la reprise "September" des Earth, Wind, Fire par Christophe Willem...